Voilà plus de 25 ans qu’Harry Potter, le sorcier à lunettes, fait parler de lui. Plus de 10 ans après le dernier film, l’engouement des passionnés ne cesse de croître, en ayant fait une licence à succès. C’est donc logiquement que des boutiques ont émergées dans différentes villes et sur internet. Le but de ces boutiques est donc clair, approvisionner les passionnés en objets dérivés de tous types. Objets collector, balais, produits du quotidien comme des gourdes, des mugs, tous les produits sont proposés, sans oublier les baguettes qui restent incontestablement les produits les plus demandés. Chacun peut donc avoir sa boutique Harry Potter préférée et s’approvisionner en produits dérivés.
Environ 7 boutiques en 2018 en France contre plus de 50 aujourd’hui
Alors que l’univers ne comptait qu’une dizaine de boutiques physiques en 2018, Harry Potter envahi aujourd’hui toute la France et le net avec plus de 50 boutiques sur le territoire. Ce nombre augmente fortement en raison des différentes enseignes qui multiplient leurs points de vente physiques et l’apparition de nouvelles enseignes physiques et E-commerce. Si certaines de ces boutiques sont spécialisées sur certains types de produits, la majorité sont assez généralistes. Les apprentis sorciers pourront donc facilement se procurer tous types de fournitures.
Quel avenir pour les boutiques Harry Potter ?
Jusqu’à aujourd’hui, les chiffres de la licence Harry Potter parlent d’eux même. Il est clair que l’engouement pour Harry Potter ne va pas s’arrêter maintenant. Les boutiques ont donc encore de beaux jours devant eux. Cependant, si la clientèle est toujours présente, les boutiques vont devoir s’adapter aux changements de comportement d’achat de ceux-ci. En effet, avec l’arrivée de Hogwarts Legacy, le nouveau jeu sur l’univers Harry Potter, les comportements d’achat risquent de se tourner vers les produits en rapport avec les maisons et non le personnage en lui-même. Les boutiques vont donc devoir s’adapter à ces changements et miser sur l’E-commerce. Le temps a montré que les boutiques les plus fragiles sont celles qui n’ont pas misé sur le digital.